1. Samedi 26 février 2012

    Ø      Participants : Jean-Christophe et Loïc BATS, Yves BESSET, Claude DERROJA, Benoît et Théo DUMEC, Jean DUMEC, Patrick GIRO, Henri MORESTIN, Claude PIETRI.

    Ø      2 équipes se forment tacitement :

     o       Une première sous la conduite de Jean va désober le fond de la galerie principale

    o       La seconde a pour but d’élargir l’orifice puis de descendre le puits ouvert il y a quinze jours, lors de la dernière sortie en sommet de méandre.

    Après avoir installé main courante et amarrage en « Y », il s’avère que ce n’est pas aussi large que prévu. Néanmoins, à l’heure du repas, Benoît descend et atteint le bas du méandre qui s’avère être particulièrement étroit. La visibilité, à travers un passage de10 cmde large est de3 mètres. Au son, il semblerait qu’il y ait plus de volume d’où la décision de poursuivre la désob par le haut. Très rapidement, il y a avancée de3 mètresen comblant partiellement le méandre afin de conserver la « clim ».

    Alors que Théo est au front et manie la pioche en laissant du remplissage en plafond, celui-ci (le remplissage) s’effondre et1 m3de terre et de blocs tombe sur Théo qui souffre d’une douleur dorsale.

    Après immobilisation de fortune réalisée par Claude PIETRI, auto-secours puis acheminement du blessé à l’hosto de Narbonne. Plus de peur que de mal car après examens, il s’avère qu’il n’y a pas de fracture, seulement un hématome et l’atmosphère se détend.

    1. Dimanche 27 février 2012

     Ø      Participants : Yann BERTIN, Yves BESSET, Claude DERROJA, Henri MORESTIN, Claude PIETRI.

     Ø      Reprise de la désobstruction après avoir purgé le plafond. On élimine le bloc tombé sur Théo (une quinzaine de kilos !) lorsque Yann repère un courant d’air sur la gauche. Rapidement, il se fraye un passage en boite à lettres et débouche dans une galerie à fort courant d’air. Henri, le plus mince de nous, progresse de quelques mètres et convenons qu’avant de continuer, il faut sécuriser l’accès. Il s’avère rapidement qu’il va falloir faire « exploser » 2 lames de rocher qui risquent de se transformer en guillotine. Aussi, nous préférons arrêter et remettre la poursuite de l’exploration. Nous reviendrons avec ce qu’il faut !

     Ø      Au cours du casse croûte nous convenons de baptiser la galerie du nom de Théo puis buvons le champagne. Nous enchaînons en levant la topographie. Nous sommes à un peu plus de50 mètres de la galerie principale.

     Affaire à suivre...

     

    Papy 31 qui n'a pas trouvé comment publier la topographie !


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  • Première partie : observations.

    Minerve by night, 5h30, parking du haut, je retrouve Emilie du PNR Haut-Languedoc et sa caméra thermique.

    Nous partons faire des essais pour découvrir les possibilités de ce matériel selon deux axes d'approche : une marche sur le plateau de Fauzan, sur la piste qui longe la Cesse, en gros entre le Moulin d'Azam et les Poteries. Et une marche au pied des falaises du tertiaire, entre la descente de l'Aldène et les Poteries.

    1°) Sur le plateau :

    Il fait froid, le vent du nord-ouest souffle fort, parfois très fort en rafales. Nous essayons de repérer dans les vignes alentours des signes d'anomalies thermiques. Y aurait-il dans ce sol extrêmement caillouteux des passages d'air relativement chaud remontant des profondeurs ? L'idée ne semble pas farfelue, mais elle s'avère infructueuse.

    Vue de la vigne sur le coté gauche de la piste remontant du moulin d'Azam :

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 1

    La température de surface de la végétation est à peine positive (1°C à 2,5°C). On distingue les vague formes des ceps et le couvert végétal du talus dans le lointain. Le sol, en noir est bien froid (environ -3°C). Mais aucune anomalie ne saute aux yeux.

    Il en est de même pour toutes les observations que nous effectuons jusqu'en haut du plateau. Nous montons, passons la bifurcation de l'Aldène, les bâtiments de la mine de phosphate et arrivons au niveau des sapinettes. Le vent est très violent, il fait -6°C et nous gelons sur place. Le visuel avec la caméra ne donne rien d'intéressant.

     

     

     

     

     

     

    Conclusion : idéalement, il faudrait procéder à des observations aériennes (avec un ULM ?) pour être en vue perpendiculaire au sol et non pas en vue rasante. Et de toute façon les sortie sur le plateau sont inutiles quand il y a du vent. Le vent homogénise les températures au sol et les observations sont biaisées.

    2°) Au pied des falaises :

    Nous prenons le sentier de descente depuis le parking de l'Aldène. C'est à l'abri du vent, de même que le pied des falaises.

    1°) Première image : une vue de loin des trous de Minerve-la-Vieille (de l'autre coté du canyon). A cette distance chaque pixel de l'image représente plusieurs décimètres sur le terrain et du coup moyenne les températures. On distingue (mal) la végétation et les falaises (de 0°C à 2°C) et les trous (jusqu'à 5°C).

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 2

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    2°) Deuxième image : dans la descente, la petite grotte sur la gauche de la descente, 4 m avant d'arriver au pied de la falaise.

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 3

     Visible 2030

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le relevé de température à l'intérieur va jusqu'à 4°C par endroits. La roche extérieure est à 0°C. La végétation c'est à peu près pareil.

    3°) Troisième image : au pied de la montée finale avant l'Aldène, la petite grotte-barbecue triangulaire sur la gauche :

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 4

     Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    Observations de température : jusqu'à 3,2°C dedans, -0,5°C à l'extérieur.

    4°) Plafond dans la grotte de l'Aldène, au niveau de la grille.

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 5

     Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

     Vue plus large de la zone :

    Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    Les creusements du plafond forment des niches thermiques à l'abri des courants d'air (9°C) les parois sont bien refroidies (4°C) et le sol de la grotte est à 3°C. Nous sommes très près de l'entrée et les échanges thermiques avec l'extérieur sont importants.

    5°) Grotte "WC" à gauche en arrivant à l'Aldène (enfin, si il y a une meilleure appellation, je suis preneur) :

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 6

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Jusqu'à 6,5°C intérieur, extérieur : 1,5°C (grâce à la végétation bien abritée du vent).

    Nous quittons le talus devant l'Aldène et commençons à remonter vers l'amont, sur un sentier bien marqué au début.

    6°) Petite cavité juste dans la descente du talus en amont de l'Aldène :

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 7

     Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    C'est une grotte en pente plongeant à 45° environ, comblée par un éboulis. Température intérieure : 5,8°C, extérieur 1,5°C (c'est abrité du vent).

    7°) Fausse Balme Rouge : c'est une entaille horizontale qui ressemble à la Balme Rouge.

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 8

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 9

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    Cette entaille pénètre plus profondément dans la falaise que les petits trous précédents. La température des parois du fond dépasse les 8°C. Elles sont de 4°C ailleurs dans la cavité et de 2°C à l'extérieur, à l'abri du vent.

    8°) Faille dans le gruyère : plus en amont, nous arrivons sur une zone très esthétique, avec de nombreux trous reliés entre eux, des failles et des galeries. C'est un vrai gruyère. Une faille plus importante, verticale, s'y trouve.

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 10

          Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

     Le fond de la faille est à 7,5°C, l'extérieur à 2°C. La faille est à l'abri du vent.

    9°) Le haut-parleur.

    Un peu plus loin se trouve un creux dans la falaise qui a une forme parabolique. En s'asseyant au fond, l'amplification de la voix est très nette, et l'écho dans les gorges de la Cesse impressionnant. D'où le nom.

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 11

         Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    L'endroit, orienté nord-nord-ouet, est plus exposé que les trous précédents, ce n'est même pas une cavité mais une simple cuvette peu profonde. Malgré tout, la température du fond du creux atteint 7,5°C, les bords 4,5°C alors que le pourtour est à 1°C.

    Nous arrivons à l'extrémité du premier éperon, la falaise change d'orientation et fait un coude à 90°. La paroi est ensuite fouettée par le vent. En prolongement de ce coude se trouve un puissant éperon rocheux de calcaires du primaire, qui domine largement un grand méandre de la Cesse. Nous nous avançons le plus possible et essayons de repérer en bas dans la vallée des anomalies thermiques. Mais soit trop de vent, soit trop loin, soit trop de couvert végétal, ou pour quelque autre raison, nous ne voyons rien.

    10°) Nous avons plus de chance en observant au loin les falaises du tertiaire. De l'éperon, on aperçoit une cavité en forme de bouche, en hauteur.

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 13

       Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    Attention, comme c'est à distance, la température relevée correspond à une valeur moyenne sur une zone.

    11°) De retour sur le sentier nous observons de nouveau la falaise à nos cotés. Toute cette partie est balayée par le vent et les rares creux visibles présentent de faibles anomalies thermiques, comme par exemple celle-ci :

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 12

       Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    La température des parois est de 0°C, le fond du trou 3,7°C.

    Puis nous arrivons à un cairn. A gauche, le sentier remonte sur le plateau (c'est bien raide) à droite, nous continuons à longer la falaise. L'orientation change de nouveau, le secteur suivant est à l'abri du vent et nous arrivons à un second éperon.

    12°) Deux failles de décompression sont bien visible.

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 14

       Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    La température au fond de la faille de droite atteint 4°C, elle ne dépasse pas 2°C dans la faille de gauche. La falaise est à 1°C. La faille de gauche est plus large, plus longue et plus profonde que celle de droite, elle est ouverte en partie haute alors que celle de droite se referme. 

    13°) Les anfractuosités horizontales sont beaucoup moins sensibles au vent. C'était déjà visible dans la "fausse" Balme Rouge. Nous le voyons aussi sur un trou au sol non loin de ces failles, à l'extrémité du second éperon :

    Sortie Thermographie du mercredi 22 février image 15

      Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    9,5°C au fond, 2°C au sol.

    Après le second éperon et jusqu'aux Poteries, nous sommes trop exposés au vent pour voir quoi que ce soit d'interessant.

    14°) La dernière observation du même genre sera lors de la remontée, quand nous passerons devant l'entrée de la grotte du Gazel

    Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.   Thermographie des falaises de la Cesse - de l'Aldène à la grotte des Poteries.

    3°) Dans la grotte des poteries :

    Nous sommes rentrés dans la grotte des poteries jusqu'au niveau de la bifurcation entre les deux principales galeries. Si la froidure de l'extérieur se fait sentir non loin de l'entrée, elle devient imperceptible plus avant dans la cavité. Les températures sont très homogènes entre le sol les parois et le plafond, elles ne présentent que quelques dixièmes de degrés d'écart, à environ 12°C. Encore ces différences sont-elles probablement dues à l'existence d'un brassage de l'air, étant donné la taille de la galerie et la relative proximité de l'entrée.

    4°) Les grottes de Brian :

    Après avoir fini le tour des falaises de Fauzan, nous sommes allés rejoindre les membres du club présents ce jour-là à Brian (près de Rieussec). A l'heure où nous y arrivons (11h00), le soleil éclaire le flan de la montagne. Bien que le versant à l'ombre soit encore bien froid (-2°C) les roches au soleil affichent déjà des températures de surface de +15°C. Aux alentours, sur le flanc ensoleillé, le couvert végétal et les zones enherbées ou couvertes de feuilles mortes présentent toute une palette de signatures thermiques allant de -1°C à +15°C rendant indiscernables les entrées hautes des cavités, qui sont à +8°C environ.

    Il n'en est pas de même pour les deux entrées basses que nous avons observées. Dans les deux cas, les roches à l'intérieur affichent des températures très fraîches entre -1°C et -2,5°C, faisant un fort contraste avec les alentours ensoleillés (8°C à 15°C). En conséquence, elles sont repérables.

     

     

     


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  • Si l'on additionne les heures-personnes qui ont creusé, fait "péter", vidé les bidons, cassé la croûte, etc., on en est à environ 200 heures de boulot. Aussi, si l'on considère l'heure de spécialiste spéléo à 50 € (en prix d'amis), c'est comme si on avait fourni une prestation à 10 000 €. Qui dit mieux ? Pour ce prix là, on a commencé à aménager les abords du point de soutirage le week-end des 26 et 27 novembre. Etaient de la partie (donc assez fous pour venir perdre leur temps au lieu de rester au coin du feu), les 2 Claude (le Corse et l'autre), Henri et Papy 31 + le dimanche la famille LELOUP (le père et le fils) accompagnés de Jean.

    On a recommencé au mois de janvier, les 14 et 15 (les mêmes joyeux fous). L'enjeu était de sécuriser le méandre d'où séance "spits", main courante et marches en inox pour poser les pieds et marches en inox pour collection au bas du méandre. On est tranquille, celle du bas, on ne nous la piquera pas. En plus pour en être certains, on a mis par dessus 2 mètres de terre et de cailloux. Comme ça pas de problème. Ensuite, on s'est attaqué au remplissage du fond. Il faut reconnaître que c'était le plus facile pour remplir  le méandre, c'était génial, on avait la matière à portée de la main, et comme Henri était méticuleux et veillait à ce que le sol soit bien plat, très rapidement on a pu se passer de la main courante dans le méande. Du beau travail.

    On a de nouveau mis la main sur le bidon 15 jours plus tard et là, génial on était plein de fous car en plus des habitués (les 2 Claude, Henri et Papy) il y avait Yann (ou du moins ce qu'il en reste), toute la famille DUMEC (Benoît, Jean et Théo le gamin). Signe encourageant de fin de séance, il semblait que du courant d'air arrivait du fond entre le remplissage et la paroi mais il restait à le vérifier.

    D'où une expédition punitive à 2 pour se réchauffer (Henri et Yves) le 12 février. Comme nous n'étions que 2 et que nous étions partis pour creuser, on a fait l'impasse sur la trousse à spits et on l'a regretté ! En effet à 10 minutes de l'heure que nous nous étions fixé pour plier le matos (après c'était des heures sup !), une trombe d'air est arrivée du trou laissé par la barre à mine. Le petit trou est vite devenu plus important et a laissé voir 3.50 mètres plus bas ce qui semblerait être un départ de galerie que nous avons gardé pour le week-end à venir. Cette fois la trosse à spits suivra !

    Affaire à suivre.

    Papy 31


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  • Jeudi 05 janvier 2012 :

    participants : JeanPi, Lapie, Michel B, Michel et Didier T, Dédé, Henri, Olive

    Nouvelle sortie à Shabiss sous un temps magnifique : vent fort et averses ...ça devient une habitude !

    2 équipes se constituent : Lapie, Michel et Didier T, Dédé et Henri vont sur les crêtes attaquer la désobstruction des trous souffleurs découverts mardi. Vu le courant d'air important et l'emplacement, il y a de fortes chances pour qu'il s'agissent des entrées hautes de la grotte de shabiss...

    L'autre équipe : Michel B, JeanPi, Olive descendent à la grotte de Shabiss au niveau du P5 (amarrage en Y). Un puits parallèle permet de descendre de 4m. A droite cela jonctionne à la base du P5 (raccourci possible moyennant quelques tirs).

    Shabiss : ça creuse en surface et dessous...

    A gauche se trouve un départ contre une coulée de calcite repéré par Michel. On attaque la désob et après 2 tirs, ça passe. On progresse dans une diaclase inclinée jusqu'à une trémie. Un départ avec de l'écho est localisé sous l'éboulis. une rapide désob permet de passer non sans quelques frayeurs ... un conseil si un bloc tient même après avoir reçu des coups de massette : envoyer 2 ou 3 coups de botte dessus pour vérifier ...).

    On poursuit derrière pour tomber sur une portion de galerie avec des gours puis de nouveau chaos de bloc. Après quelques contorsions dans les blocs, on retombe dans une petite salle concrétionnée. A sa base on descend  sur une dizaine de mètres jusqu'à un point bas constitué par un gour. Arrêt quelques mètres plus loin sur une belle coulée de calcite à escalader. On n'a pas voulu salir. ça continu au delà mais il n'y a pas de courant d'air. Bref cela fait environ 50m de progression supplémentaire avec quelques jolies zones concrétionnées mais le parcours chaotique ne fera pas beaucoup d'amateurs.

    Shabiss : ça creuse en surface et dessous...

    Shabiss : ça creuse en surface et dessous...

    Terminus sur escalade

     

     

     

    On sort rejoindre l'équipe désob au col vers 13h. Après une dizaine de tirs, les perspectives sont très intéressantes : conduite forcée en vue et gros courant d'air ... Il y a hélas un blessé  : Michel T (doigt écrasé)

    On part se mettre à l'abri de la tempête au refuge des chasseurs de Boisset pour casser la croûte et désinfecter le doigt de Michel par hydratation du tendon


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  • Mercredi 28 décembre

    Participants: Théo, jean, benoit, michel puis jean michel que nous avons retrouvé en sortant

    C'était la découverte du trou pour nous 4  (à part l'entrée pour 1)

    Descente rapide et arrivée en haut du puits du siphon que  nous n'avons pas descendu, préférant effectuer la traversée.

    Après avoir escaladé la coulée de calcite et équipé, exploration d'une galerie dans l'axe de la partie précédente de la grotte, gour de plusieurs mètres de long rempli d'eau à passer en oppo, puis départ d'un méandre magnifique serpentant avec un seul problème, les 4 ont du passer sur leur profil, vu la largeur de la galerie. Puis salle avec 3 méandres arrivant. Celà ressemble à une tete de réseau, tout se rétrécissant. ( 50 mètres  + ou - de première)

    Au retour, rééquipement des puits, exploration de cheminées,...

    pas d'appareil photo  


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